CENTRE PMS DE VIRTON WBE
Aider mon enfant dans sa scolarité =>
Les relations de mon enfant avec son enseignant =>
On se plaint du comportement de mon enfant à l’école =>
Les écrans, Internet, les réseaux sociaux =>
Mon enfant a été exclu de l’école =>
Observer et accompagner le développement de mon enfant =>
Repérer les appels à l’aide de mon enfant =>
Mon enfant est-il harcelé ? =>
Je rencontre des difficultés dans l’éducation de mon enfant =>
Protéger mon enfant en cas de conflit conjugal ou de séparation =>
Accompagner mon enfant dans un deuil =>
Être bientraitant avec son enfant - Les besoins de l’enfant =>
Accompagner le développement du langage de mon enfant =>
Je ne parle pas le français =>
J’ai besoin d’un test de QI pour le remboursement de la logopédie =>
L’école introduit dans la vie de l’enfant toute une série de codes (de comportement, de langage) qu’il va intégrer progressivement dès son entrée à l’école maternelle.
Spontanément, l’enfant aime apprendre, réussir et donner satisfaction à son enseignant et à ses parents.
Parfois (notamment si l’enfant ou le jeune rencontre des difficultés d’apprentissage ou des difficultés dans sa vie personnelle/familiale), les parents vont devoir se mobiliser pour l’encourager, soutenir sa motivation.
Le risque sera parfois de le déposséder de sa scolarité en prévenant des besoins supposés, en occultant des difficultés, en faisant à sa place ou en ayant des attentes personnelles.
Quelques pistes :
Présentez à votre enfant une image positive de l’école :
Valorisez les apprentissages faits à l’école :
Harmonisez vos actions à celles des enseignants :
Encourager votre enfant à s’autoévaluer et à augmenter son sentiment de compétence :
Aidez votre enfant à développer son sentiment de contrôle :
Inspiré de : https://aidersonenfant.com
Voir aussi :
Proposition de lecture : “ Aider son enfant à bien vivre l’école. Phobie scolaire, harcèlement, difficultés d’apprentissage : comment agir ? “, Bruno Humbeeck, psychopédagogue, Editions Leduc août 2018.
Envie de réviser, de comprendre mieux, d'approfondir, de rattraper, d'évaluer ses connaissances ?
Enseignement en ligne gratuit : https://fr.khanacademy.org/
Une bonne collaboration avec l’enseignant est un plus pour aider votre enfant à s’adapter à sa classe et à bien réussir à l’école.
C’est avec son enseignant que votre enfant passera la plus grande partie de ses journées. Comme vous, l’enseignant veut que votre enfant réussisse bien en classe. Faire équipe avec elle peut aider votre enfant dans ses apprentissages.
Lorsque votre enfant voit que vous avez un bon lien avec son enseignant, il comprend que vous le respectez et que ce qui se passe à l’école est important. Cela l’aide à être motivé à l’école.
Il est important d’aller aux rencontres de parents pour apprendre à connaître l’enseignant de votre enfant et savoir comment les choses se passent en classe.
Voici ce que vous pouvez faire pour établir un bon lien avec l’enseignant :
Comment communiquer avec l’enseignant(e) de mon enfant ?
Il y a plusieurs moyens de communiquer avec l’enseignant.
En maternelle et à l’école primaire, l’élève a souvent un journal de classe ou un cahier de communication qu’il rapporte chaque soir à la maison. L’enseignant peut y noter un commentaire sur son comportement en classe. Par exemple, il peut mettre un « bonhomme sourire » pour indiquer qu’il a passé une belle journée.
Vous pouvez également écrire dans ce cahier, par exemple, pour poser une question à l’enseignant ou l’informer d’une situation qui vous inquiète. L’enseignant pourra alors répondre directement dans ce cahier, vous appeler ou vous donner rendez-vous pour une rencontre.
Il se peut aussi que l’enseignant vous donne une adresse courriel pour communiquer avec lui/elle rapidement. Et bien sûr, il est toujours possible de téléphoner directement à l’école pour lui laisser un message ou pour prendre rendez-vous avec lui.
Ne vous inquiétez pas si vous ne recevez pas toujours de message de l’enseignant. C’est probablement parce que tout va bien.
Pour une bonne relation élève-enseignant(e)
Selon des études, les élèves qui s’entendent bien avec leur enseignant ont des meilleurs résultats à l’école, ils sont plus motivés, participent plus en classe. Vous pouvez favoriser cette bonne relation en donnant des informations sur la personnalité et le comportement de votre enfant à son enseignant.
Prendre le temps de parler avec votre enfant de ce qu’il fait en classe l’aide aussi à développer un bon lien avec son enseignante. Comme il passé beaucoup de temps avec elle, c’est normal qu’il en parle souvent. Il est important de ne pas la critiquer ni de parler d’elle en mal devant votre enfant pour ne pas qu’il se sente pris entre elle et vous.
À retenir :
Lecture : “Heureux d’apprendre à l’école” de Catherine Gueguen
C’est une thématique développée dans l’enseignement depuis plusieurs années, dans le cadre de la prévention du décrochage et de la violence scolaires.
Contribuer au bien-être à l’école est donc également une des missions du Centre PMS.
Dans ce domaine, nous identifions régulièrement les besoins des groupes avec les enseignants et nous organisons des animations en classe. Nous pouvons aussi répondre à des questions, ou sensibiliser, de manière individuelle.
Votre enfant aura dès lors, sans doute, l’occasion de nous rencontrer en groupe ou en entretien individuel.
Diverses thématiques telles que le bien-vivre ensemble, le respect (de soi/ de l’autre), la Brain-gym, les massages en duo (chez les petits), l’hygiène du corps, l’hygiène bucco-dentaire ou alimentaire, le sommeil, l’usage d’Internet et des réseaux sociaux) la vie relationnelle affective et sexuelle (« EVRAS »), peuvent être abordées parmi bien d’autres.
Dans le même but, n’hésitez pas à nous contacter si vous pensez à une problématique santé qui nécessiterait notre avis ou conseil.
« UN ENFANT DIFFICILE A TOUJOURS QUELQUE CHOSE A NOUS DIRE »
Les problèmes de comportement des élèves se manifestent souvent en classe, à l’école, et varient selon l’âge des enfants et leur situation personnelle.
Il faut distinguer deux « types » de comportements lorsque l’on veut définir un enfant agité, perturbateur à l’école. Soit c’est une transgression des règles sociales, soit ce sont des réactions émotionnelles inadaptées.
En effet, des modifications dans la vie d’un enfant peuvent engendrer un changement de comportement. Cela peut se retrouver lors de la séparation des parents ; ou l’arrivée d’un beau papa ou d’une belle maman peuvent faire perdre ses repères à un enfant, soit parce que la situation et la nouvelle organisation n’a pas été assez clairement expliquée à l’enfant, soit parce que l’éducation des parents divergent et que l’enfant ne sait plus laquelle il doit suivre.
Ce qui peut aussi perturber l’enfant c’est qu’au sein de la famille, il y ait une perte d’emploi, l’enfant ressent alors le désarroi de son parent et son rapport à l’école peut changer.
La maladie, le deuil d’un proche peut entraîner un changement de comportement et entraîner de la révolte, de la colère, des difficultés d’attention et de concentration chez l’enfant.
Il faut bien distinguer les problèmes de comportement des troubles du comportement (comme un déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité). Ce trouble nécessite alors un diagnostic ainsi qu’un suivi, des adaptations scolaires particulières et parfois un traitement médical.
Pourquoi mon enfant dérange-t-il à l’école ?
Les problèmes de comportement peuvent survenir, entre autres, quand :
Mon enfant dérange à l’école. Que faire ?
Former équipe avec l’enseignant(e) de votre enfant. En travaillant ensemble, vous augmenterez vos chances de succès.
Quand vous rencontrez l’enseignant(e) de votre enfant :
Avec des comportements dérangeants, les enfants expriment, maladroitement, des besoins. Quels sont ces besoins ? Comment pourraient-ils les exprimer de façon plus convenable ? Votre rôle comme parent consiste à accompagner votre enfant dans cet apprentissage.
C’est en valorisant votre enfant et en l’aidant à découvrir ses forces que vous y arriverez. Les enfants qui dérangent, comme tous les enfants, ont aussi des qualités et des forces, et ils ont particulièrement besoin qu’on les reconnaisse. Malheureusement, leurs comportements perturbateurs nous le font parfois oublier.
Conseil : n’hésitez pas à demander une aide professionnelle si les difficultés persistent, s’aggravent ou si votre enfant se montre violent avec les autres enfants ou avec le personnel scolaire.
En cas de difficulté vous pouvez faire appel au centre PMS, aux centres de guidance, aux psychologues.
Site Yapaka.be pour plus.
En effet, ceux-ci sont fort présents dans la vie de nos jeunes et nous interpellent beaucoup…
Nous pouvons vous rencontrer également pour discuter de vos inquiétudes.
N’hésitez pas à consulter les liens suivant dans un premier temps :
https://www.webetic.be/
https://www.childfocus.be/fr/prevention/clicksafe-tout-sur-la-securite-en-ligne
cliniquedujeu.be/?lang=fr
Vous pouvez vous adresser au centre PMS pour vous aider à trouver une nouvelle école. Le PMS pourra vous donner les coordonnées d‘autres écoles en fonction des besoins de votre enfant et en fonction de son orientation scolaire.
L’école qui a exclu votre enfant vous aide également dans la recherche d’un nouvel établissement scolaire et éventuellement prendre contact avec la direction de la nouvelle école.
Que puis-je observer ?
L’être humain est doté d’une multitude de compétences, qu’il utilise consciemment ou non, tout au long de sa vie. Ces compétences touchent le langage, les intelligences, l’aspect psychoaffectif ainsi que le développement moteur. Ce-sont toutes ces facultés qui peuvent être observées chez votre enfant (dès sa naissance) et qui permettent de dire s’il se développe bien (à l’aide d’observations mais également de tests standardisés).
Il est important de noter qu’il est normal que votre enfant soit un peu en avance ou en retard dans l’un ou l’autre domaine, il ne peut pas évoluer dans tous les niveaux en même temps. Cependant, il est nécessaire d’être vigilants, car son développement doit être harmonieux.
Quand et comment puis-je l’observer ?
Rien de tel que d’observer son enfant lorsqu’il joue ! En effet, le jeu permet de développer toute une panoplie de compétences, sans que l’enfant ne s’en rende compte, et surtout en prenant du plaisir ! Un plaisir qui peut être partagé avec ses parents, sa fratrie…
Vous pouvez également l’observer lors de ses activités extrascolaires, lorsqu’il fait ses devoirs, lorsqu’il est dans un nouvel environnement ou face à une nouvelle tâche (capacité d’adaptation).
N’hésitez pas également à demander aux personnes qui l’entourent de l’observer et de donner leur avis sur son développement (grands-parents, instituteurs, puéricultrices…)
Comment l’accompagner ? A l’aide de quelles activités ?
Quelques conseils :
Via ce lien, vous trouverez des tableaux donnant des repères de développement sur les plans de l’imitation, de la perception, de la motricité générale, de la motricité fine, de la coordination oculo-manuelle, de la cognition, du langage (compréhension et expression), de l’autonomie, de la socialisation : http://www.geopsy.com/boite_a_outils/tables_developpement.php
Si des questionnements surgissent relativement au développement de votre enfant, n’hésitez pas à nous contacter.
Les livres suivants sont accessibles, ainsi que beaucoup d’autres, via le site :
https://www.editions-chu-sainte-justine.org :
« Le développement de mon enfant au quotidien de 0 à 6 ans »
« Le développement de mon enfant au quotidien de 6 à 12 ans »
Consulter aussi : www.one.be
Les enfants sont à un âge où, croit-on, la vie n’est que jeu et insouciance. Pourtant, tout comme les adultes, les enfants ne sont pas épargnés par la dépression et peuvent eux aussi éprouver un sentiment de profond mal-être.
Plusieurs signes et changements dans son comportement permettent d’alerter les parents. « Un enfant joyeux qui se replie sur lui ou devient très agressif, ou un enfant facile qui devient colérique ou bien un enfant autonome qui va régresser et se mettre à « coller sa mère » en permanence : ce sont ces changements radicaux dans l’attitude des enfants qui mettent la puce à l’oreille. Des manifestations physiques comme maux de tête ou de ventre, perte d’appétit, énurésie et troubles du sommeil, peuvent, lorsqu’elles n’ont pas de cause médicale, être des indicateurs de mal être.
Un adolescent préfère en général s’isoler lorsqu’il se sent mal dans sa peau. Il est important de lui poser des questions, lui tendre une perche et ne pas faire comme si de rien n’était. Il est important aussi de prendre la température autour de lui en interrogeant les adultes-relais : un prof de sport, un enseignant qui a bon contact avec l’adolescent… Les parents peuvent aussi demander ce qui se passe aux copains et aux copines ou en parler aux autres parents. Il suffit de demander : « Comment le trouvez-vous en ce moment ? » Souvent un adolescent qui va mal donne de petits signes autour de lui, et ce ne sont pas les mêmes selon les personnes. En regroupant ces signaux, on arrive à cerner le problème.
Comment l’aider à se confier ?
Les parents peuvent lui proposer une activité qu’il aime : aller au restaurant, à la piscine, partir en week-end… L’important, c’est de mettre en place un cadre dans lequel il pourra « baisser la garde ». Si les parents sont vraiment inquiets, ils peuvent aussi en parler à un professionnel, au médecin généraliste ou à un membre de l’équipe du Centre PMS. Celui-ci pourra éventuellement rencontrer le jeune sans ses parents. Cette entrevue peut l’amener à se confier. Ensemble, le professionnel et l’adolescent verront ensuite comment faire comprendre le problème aux parents.
Parfois, demander un coup de pouce à un professionnel (qui écoute en toute confidentialité) aide à mieux comprendre son enfant et à comprendre pourquoi, en tant que parent, on peut se sentir à bout et très seul.
De même, quand les émotions difficiles reviennent régulièrement, il est intéressant de s'interroger sur leur origine. Elles viennent parfois de très loin, d'il y a fort longtemps, du temps où on était soi-même enfant et qu'on ne comprenait pas la colère, la violence ou la dépression de ses parents. En parler est difficile, parfois douloureux, mais ça libère du poids que l'on porte en soi.
La plupart des organismes ci-dessous disposent de services de proximité.
En cas de doutes ou d’inquiétudes de maltraitances, contactez l’équipe SOS Enfants de votre région. Un professionnel pourra, en toute confidentialité, vous écouter, prendre le temps de réfléchir à la situation et évaluer avec vous les pistes possibles (hors même de toute prise en charge).
O.N.E. (Office de la Naissance et de l'Enfance)
Protection maternelle et infantile de 0 à 6 ans. Consultations de nourrissons et prénatales.
95, chaussée de Charleroi - 1060 Bruxelles - 02/542 12 11 - www.one.be
Ligue des Familles a.s.b.l.
Publications (Le Ligueur des parents, Le Ligueur et mon bébé...), action politique, animations sur le terrain... : de multiples services... au service d'une société de «citoyenparents».
109, avenue E.de Beco 1050 Bruxelles - 02/507 72 11 - www.laligue.be
École des Parents et des Éducateurs de Belgique
Formations, conférences, consultations... destinées aux parents, grands-parents, éducateurs...
14, place des Acacias - 1040 Bruxelles - 02/371 36 36 - www.ecoledesparents.be
Télé Accueil : 107
Un numéro de téléphone gratuit et anonyme, accessible jour et nuit, pour parler, sortir de la solitude, apaiser ses tensions... être entendu
Écoute-Enfants : 103
Un numéro vert destiné spécialement aux enfants, accessible de 10h à minuit et 7 jours sur 7.
Services de santé mentale pour adultes et enfants.
Difficultés personnelles ? Difficultés dans l'éducation des enfants ?
Centres de planning familial
Un accueil, une écoute, une aide dans tous les domaines de la vie relationnelle, affective et sexuelle.
Médiateurs familiaux agréés
En cas de crise conjugale, de conflit familial, un médiateur peut aider à rétablir la communication entre les parties afin qu'elles trouvent des solutions à leurs problèmes.
Équipes SOS- Enfants
Elles apportent une aide à des enfants en danger ou victimes de maltraitance et assurent un soutien à leurs familles fragilisées, déboussolées, malmenées (sos-enfants@one.be)
Services de l'Aide à la Jeunesse (S.A.J.)
À l'aide de son service (le S.A.J.), le Conseiller de l'Aide à la Jeunesse peut intervenir à la demande d'un jeune, d'un parent dans le cadre d'un accord. Il oriente et soutient les familles dans leurs démarches.
Délégué général aux droits de l'enfant
Ses missions : faire connaître les droits des enfants, vérifier la bonne application des lois qui les protègent, en proposer de nouvelles et recevoir les plaintes.
Rue de Birmingham 66, 3ème étage, à 1080 Bruxelles
02/223 36 99
Sans oublier, tout près de chez vous :
Le harcèlement peut être fait de différentes manières, parfois très insidieuses…
Ce n’est pas toujours facile à gérer en tant que parents tant l’émotionnel prend le dessus.
N’hésitez pas à prendre contact avec nous pour toute information ou questionnement.
Nous vous proposerons un rendez-vous afin d’évaluer la situation.
Nous travaillons également en collaboration avec les écoles sur ce sujet, nous faisons des animations, nous rencontrons les élèves, les directions d’école et toute l’équipe éducative qui encadre votre enfant.
https://www.reseau-prevention-harcelement.be/
http://www.enseignement.be/index.php?page=0&navi=3613
https://www.airdefamilles.be/ecole-harcelement-one-adf544/#.XqGjvpk6-Uk
https://www.lacode.be/IMG/pdf/Analyse_HarcelementEcole_Final.pdf
www.ouitilsderesilience.eu : Bruno Humbeeck, psychopédagogue
www.lerph.be/rph.php Boulevard du Nord, 4 5000 NAMUR 0479/37 14 66
Vous pouvez nous contacter et prendre rendez-vous : nous pourrons vous recevoir en entretien et vous aider à y voir plus clair dans votre situation. Si celle-ci nécessite un suivi spécialisé, nous vous donnerons les coordonnées de services aptes à vous aider.
Le CPMS ne peut proposer aucun suivi à caractère thérapeutique.
Vous pouvez trouver des informations utiles via ces liens :
https://www.yapaka.be/naitre-parents
https://www.yapaka.be/campagne/campagne-etre-parents-cest
https://www.yapaka.be/campagne/livre-manuel-de-survie-pour-parents-dados-qui-petent-les-plombs
https://www.yapaka.be/campagne/lexemple-cest-nous
https://www.yapaka.be/enfantdifficile
Le désaccord entre deux personnes fait partie de la vie, il souligne la position individuelle de chacun et la nécessité de composer avec « de l’autre », « du différent ».
Ainsi, quand une dispute surgit entre les parents, il peut être vraiment constructif pour l’enfant témoin de la scène de voir qu’elle peut se résoudre par la parole dans le respect de l’autre. L’enfant qui vit cette situation trouve alors une occasion de faire l’expérience de la gestion d’un conflit par la parole.
Mais, quand la dispute parentale est imprégnée de non-respect, de disqualification voire de rapport de force, elle est préjudiciable à l’enfant. Qu'il s'agisse de coups, d’attitudes ou de mots, l'enfant qui vit dans ce moment de violence se trouve en grande souffrance.
https://www.yapaka.be : Les conséquence de la violence conjugale sur l’enfant :
https://www.yapaka.be/campagne/campagne-la-dispute-des-parents-frappe-les-enfants
Pour aider l’enfant ou l’adolescent endeuillé à s’extérioriser, il est nécessaire de prendre conscience de l’écart considérable entre ce qui ressenti « à l’intérieur » et ce que le jeune va exprimer réellement. La formation de l’idée de la mort chez l’enfant fait partie intégrante de son développement.
Le deuil chez l’enfant est souvent le reflet de comment la famille le vit. Les enfants ont besoin de l’exemple de l’adulte, des mots qu’ils emploient pour donner un sens à ce qu’ils sont en train de vivre. Des explications trop abstraites au sujet de la mort n’aideront pas vraiment l’enfant qui pense encore de façon très concrète. Une séparation, même de courte durée, peut être éprouvée difficilement par de jeunes enfants chez qui la notion du temps n’a pas encore atteint sa maturité.
Les enfants ont d’autres moyens pour exprimer leur détresse, notamment par des moyens non verbaux. C’est la raison pour laquelle il faut être attentif à tout changement de comportement qui peut s’opérer sous formes d’état dépressif, de prise de distance (parfois interprétée comme de l’indifférence par la famille). Des comportements d’autopunition, du négativisme, une augmentation de l’agressivité, peuvent aussi être constatés. Chez l’enfant, cela reflète des façons d’intégrer quelque chose de trop lourd, de trop difficile à vivre pour lui.
Il est particulièrement important de répondre le plus honnêtement et le plus clairement possible aux questions de l’enfant (plus ils avancent en âge, plus ils veulent des détails).
Par contre, si l’enfant refuse de parler du parent décédé, il est prudent de ne pas le forcer. Le parent survivant peut maintenir l’image de la personne disparue. Il est nécessaire pour l’enfant d’entendre parler positivement du défunt, de savoir qu’on ne l’oubliera jamais et qu’on l’aimera toujours.
Les parents sont les premiers accompagnants de l’enfant. La plupart du temps, les difficultés des parents résident dans le manque de confiance en eux et/ou la peur de mal faire.
Il est néanmoins essentiel de rester attentif à respecter les limites des parents. Si les parents sont eux-mêmes trop en souffrance, demander à une personne ressource d’accompagner l’enfant est important.
La période de deuil est constituée chez l’enfant comme chez l’adulte d’un état dépressif, mais sans en revêtir les mêmes formes :
Lorsqu’un parent se suicide, il est important de dire la vérité à l’enfant quel que soit son âge. On constate en effet, très souvent, le désir des familles de vouloir protéger l’enfant en lui taisant ce fait. Or les non-dits et les tentatives de camouflage risquent d’entraîner des mythes familiaux plus dévastateurs que la vérité. Cela peut entraîner un doute par rapport à sa perception de la réalité. Car il finira un jour par apprendre la vérité et le mensonge familial risquera alors de remettre en cause la confiance à l’égard des parents.
D’après RINGLET Florence, Conférence sur le deuil et l’enfant. (2007) Voir aussi :
www.soinspalliatifs.be et www.palliatheque.be
http://www.soinspalliatifs.be/plate-forme-du-luxembourg.html : plateforme des soins palliatifs de la Province de Luxembourg. Association de suivi de deuil. Espaces ateliers pour les enfants touchés par le décès d’un proche.
Parentalité positive, communication bienveillante… En ce moment, sur Internet et dans les rayons des libraires, ces termes ont la cote. Méthode efficace pour les uns, laxisme pour les autres… Parents bienveillants, oui mais… maladroits aussi !
Lors d’un dîner, un des invités renverse son verre. Qui d’entre nous oserait s’emporter contre lui en disant : « T’es vraiment maladroit ! C’est pas croyable ! »
De la même façon, à un collègue qui vient de prendre un nouveau poste, personne ne songerait à dire : « Attends, t’as fait la même erreur qu’hier, tu n’y arriveras jamais ! » Or c’est souvent sur ce ton que nous nous adressons à nos enfants, alors que chez eux, tout n’est qu’apprentissage, tout n’est que première fois.
Bienveillants vis-à-vis de nos enfants, pourtant, nous le sommes tous.
Bienveillants, oui, mais… maladroits aussi ! Maladroits, lorsque nous disons par exemple : « Allez, allez, arrête de pleurer, c’est fini, t’as pas mal ! » Ou lorsque nous parlons de notre petit de 3 ans en disant : « il est terrible ! » ou encore lorsque nous le secouons par le bras en criant : « Dis donc, qui c’est qui commande ici ? »
Les recherches les plus récentes sur le cerveau humain ont prouvé qu’une éducation empathique et respectueuse permet au cerveau de se développer de façon optimale. À l’opposé, le stress, les humiliations, les violences verbales ou physiques peuvent modifier en profondeur le cerveau en construction et entraîner des troubles cognitifs (troubles de la mémoire, de la perception, ralentissement de la pensée, difficultés à résoudre des problèmes, etc.).
Heureusement, nos maladresses quotidiennes peuvent se corriger par, petites touches et avec un peu d’entraînement. Car l’éducation bienveillante est avant tout une histoire d’attitude. Et s’il y a parfois des rechutes, ce n’est pas grave !
Pour Nadège Larcher, psychologue, il y a 6 règles d’or… et 6 formulations à bannir de notre vocabulaire, pour s’entraîner à être des parents encore plus bienveillants.
Distinguer l’enfant de ses actes. Pour ne plus dire : « Tu es infernal ! ». Jean a 4 ans. Lors d’un repas de famille, il verse le contenu de la salière dans son verre. Son grand-père réagit : « Tu ne fais que des bêtises ! Quel idiot ! » Jean se fait tout petit sur sa chaise. Ce qu’il entend, c’est « je suis nul. » Or, ce qui est incriminé, ce n’est pas lui, mais ce qu’il a fait. Il faut avoir la vigilance de distinguer les deux : « Ah, tu observes le sel se dissoudre dans l’eau ? C’est intéressant, hein ! Par contre, manger trop de sel n’est pas bon pour la santé, et je t’ai expliqué qu’il faut attendre la fin du repas pour jouer. Va jeter ton eau dans l’évier. »
Détails de langage ? Les conséquences sur l’estime de soi sont cruciales. Jean se sent respecté, car l’adulte considère sa curiosité naturelle et son aptitude à réparer ce qu’il a fait. A l’inverse, en utilisant sans nuance le verbe être (« Ma fille est capricieuse, mon fils est égoïste… »), on enferme les enfants dans une fausse vision d’eux-mêmes, qu’ils vont ensuite s’ingénier à confirmer. Pour faire court : un enfant « terrible » fera tout pour le rester.
Fixer les règles à l’avance. Pour ne plus dire : « Combien de fois faut-il le répéter ? » Alice et Marina ont 3 ans. Leurs parents sont invités avec elles à un apéritif. Arrivées chez leurs hôtes, les deux sœurs entament une course-poursuite autour de la table basse et escaladent les fauteuils. Leur papa se fâche très fort. Mais à bien y réfléchir, avait-il pris le temps, à l’avance, d’exprimer ce qu’il attendait de ses filles dans ce type de situation ? Elles ne pouvaient pas forcément le deviner.
Ce qui paraît évident aux adultes, ne l’est pas nécessairement aux plus petits. Et plutôt que de réagir alors que la « bêtise » a été faite, il faut essayer de l’anticiper, en fixant les règles à l’avance : « Nous allons au supermarché. À l’intérieur, on marche tranquillement à côté du Caddie. Et quand vous insistez pour acheter des choses, cela me gêne. » Ou encore : « Pour te servir des jouets de ton frères, tu dois d’abord le lui demander. » Vous avez l’impression de répéter toujours les mêmes consignes ? Normal ! Avant 6-7ans, les enfants ne sont pas capables d’intégrer les règles définitivement.
Exprimer les interdits de façon positive. Pour ne plus dire : « Ne crie pas ! » Faites le test. Au lieu de crier : « Ne cours pas ! », dites plutôt : « Marche ! » Vous verrez, ça… marche ! Car dans l’injonction « Ne cours pas ! », un cerveau tout jeune entend avant tout le verbe courir : « cours ! » Mieux vaut s’entraîner à dire ce que l’on a le droit de faire, plutôt que souligner ce que l’on n’a pas le droit de faire.
Reconnaître les émotions de l’enfant. Pour ne pas dire : « Ce n’est rien ! »
Elena a 3ans. Depuis le retour de la garderie, elle est irritable. Et quand elle tombe dans le couloir, c’est la crise. Elle tempête, elle hurle, et tend les bras vers sa maman. En quoi le classique : « Ce n’est pas grave, t’as pas mal ! » serait-il consolateur ? Bien sûr que c’est grave, bien sûr qu’elle se sent mal ! Pourquoi nier son ressenti ? La prendre dans les bras en constatant simplement : « Tu es tombée. Tu as mal. Tu pleures. Tu es en colère » lui prouve qu’elle est écoutée, comprise, respectée. Et… ses larmes sèchent beaucoup plus vite.
Cela vaut aussi pour nous : plutôt que d’exploser et jeter sa colère à la tête de l’enfant en hurlant : « Tu es impossible ! », parlons à la première personne, en nous contentant de constats et rappelant les règles : « Je suis énervé de voir que tu continues de sauter sur le canapé. Le canapé est fait pour s’asseoir. »
Ne pas voir l’intention là où il n’y en a pas. Pour ne plus dire : « Il me fait un caprice ! ». Quand un de ses enfants se roule par terre, Gaëlle ne se demande plus s’il « fait un caprice » mais se pose d’autres questions : « Lequel de ses besoins n’est pas rempli ? Son besoin d’affection ? De repos ? Les règles n’étaient pas claires… ? » Peu à peu, l’enfant apprendra à reconnaître et exprimer ses émotions et ses besoins. Pour les y aider, Lucie invite ses garçons à utiliser un code couleur, en choisissant des crayons : rouge, pour la mauvaise humeur, orange, pour la contrariété, vert, tout va bien. Au retour de l’école, cela lui permet de prendre la température sans grands discours.
Être souple en maintenant le cadre. Pour ne plus dire : « C’est comme ça et pas autrement ! » Quand un de mes fils ne voulait pas aller au bain, relate Lucie, avant je disais : « Tu y vas tout de suite ou tu files dans ta chambre. » Maintenant, je dis : « Tu peux encore jouer, mais quand la grande aiguille sera sur le 3, tu vas dans le bain. » Cette alternative est acceptable pour tout le monde et elle a l’avantage de mettre l’enfant dans une position active. Un point de vue que partage Gaëlle, mère de trois enfants. « Avant, quand j’avais dit non, je ne revenais pas dessus, pour ne pas perdre la face. Mais en fait, on ne perd rien à revenir sur quelque chose. Mes enfants savent très bien distinguer les choses sur lesquelles je ne transige pas : on donne la main pour traverser la rue, etc. »
Cela vaut parfois la peine de se demander pourquoi on impose notre volonté à nos enfants. Pull orange ou pull rouge, quelle importance, finalement ?
Voir également: la roue de l'enfant bientraité.
Jacques Salomé estime que les enfants ont 8 besoins :
Les deux plus importants seraient le besoin d’appartenir (faire partie d’un groupe) et le besoin de se sentir utile (savoir que la contribution personnelle compte).
Quelles sont les raisons qui favorisent les comportements inappropriés des enfants ?
Voici 6 raisons qui pourraient expliquer pourquoi les enfants adoptent des comportements que nous estimons inappropriés pour la vie en commun :
Le nécessaire travail sur soi en tant qu’adulte
Être un parent non violent requière un véritable travail sur soi, qui peut aller jusqu’à l’analyse thérapeutique. Sans aller jusque-là, il est possible d’apprendre en tant qu’adultes à:
La préparation de l’environnement familial
Donna Bryant Goertz (éducatrice Montessori) donne 11 conseils pour favoriser l’épanouissement des enfants en réorganisant le quotidien :
Se faire aider individuellement
Le burnout maternel (ou épuisement maternel) est une perte du sens de sa parentalité. Elle peut mener à des pratiques éducatives violentes par grande fatigue, par détresse extrême. Là encore, il est possible de demander de l’aide (SOS-enfants ; burnoutparental.com ; centre PMS…)
Il est également possible d’entamer un travail de thérapie pour comprendre d’où vient la violence tapie en nous et qui nous empêche de cheminer vers une éducation bienveillante non violente.
Bien s’entourer
Marshall Rosenberg écrit :
Nous ne pouvons réellement offrir avec amour que dans la mesure où nous recevons nous-mêmes de l’amour et de la compréhension. C’est pourquoi je vous recommande vivement de réfléchir à la manière dont vous pourriez créer, parmi vos amis et autres connaissances, un groupe de soutien qui vous apportera la compréhension dont vous avez besoin pour offrir à vos enfants une présence enrichissante pour eux comme pour vous.
Pour aller plus loin :
Délégué général aux droits de l'enfant :
Rue de Birmingham 66, 3ème étage, à 1080 Bruxelles
02/223 36 99
Service Droit des Jeunes (notamment Arlon : www.sjd.be)
Ou encore : https://www.belgium.be/fr/famille/enfants/droits_de_l_enfant
Le langage est un élément essentiel dans notre quotidien. En effet, il est utilisé en permanence. Que ce soit de manière verbale ou non-verbale (gestuelle par exemple), il permet de faire passer un message et d’engendrer des réactions de la part de l’interlocuteur. C’est pour cela qu’il est important de le stimuler dès la naissance.
Quelques idées afin de développer le langage de son enfant :
Attention ! Jusqu’à l’âge de deux ans il n’y a pas de raison de s’inquiéter si votre enfant ne produit pas encore beaucoup de mots, il peut y avoir une explosion lexicale lorsqu’il entrera à l’école maternelle. Il est donc important de ne pas brusquer votre enfant s’il ne produit pas correctement certains sons et/ou mots. Donnez-lui plutôt le mot correct sans pour autant insister pour qu’il le répète. Vous risqueriez de produire l’effet inverse de celui escompté !
Si vous êtes inquiets quant au développement du langage chez votre enfant, n’hésitez pas à demander un conseil auprès de votre CPMS qui pourra vous dirigez, si nécessaire, vers un logopède afin de réaliser un bilan.
Suivre ce lien pour des idées concernant la stimulation du langage :
https://declic.com/blogue/orthophonie-2/stimuler-le-langage-de-votre-enfant-a-la-maison/ (Télécharger les fiches PDF)
Conseils et activités pour stimuler la communication et le langage à la maison.
Conseils aux parents - Stimuler le language à la maison.
Ces sites internet peuvent vous intéresser :
http://www.latreve.be/portfolio/francais-langue-etrangere/
https://www.lire-et-ecrire.be/L-offre-de-formations-en-francais
SETIS Wallon (interprétariat social) :
https://setisw.com/par-telephone/ :
Lundi – Mardi et Jeudi de 9h à 12h et de 13h à 16h
Mercredi de 9h à 12h
Vendredi de 9h à 12h et de 13h à 14h30
Langue arabe : 04/223.71.93
Autres langues : 081/46.81.70
Tarification
Vous pouvez également consulter la page de la tarification pour plus d’informations ici .
20 minutes
30 minutes
45 minutes
6€
15€
24€
Le bilinguisme présente beaucoup d’avantages, pour autant qu’il soit additif, c’est-à-dire qu’il soit maîtrisé dans les deux langues. En effet, il permet d’être ouvert aux autres, d’avoir plusieurs stocks lexicaux, de connaitre des grammaires différentes, d’avoir une ouverture vers d’autres cultures…
La langue maternelle est très importante, il est nécessaire de la conserver car c’est une valeur culturelle et affective. De plus, elle est utilisée comme référence pour l’enfant lors de ses apprentissages (il transfert sa façon d’apprendre dans sa langue maternelle à la seconde langue).
Il est important que l’enfant maîtrise également la langue d’apprentissage/de scolarisation. En effet, si elle n’est pas maîtrisée, cela peut avoir des impacts considérables sur ses apprentissages :
Quelques conseils à appliquer avec votre enfant :
Le bégaiement est un trouble fonctionnel de la coordination du souffle et de la parole. C’est un trouble qui peut apparaître vers 2 ou 3 ans, durant l’adolescence ou suite à des lésions cérébrales.
Il existe plusieurs signaux d’alerte, qui ne sont pas systématiques :
Quelques conseils face à son enfant « bègue » :
Si votre enfant a besoin d’un test de QI vous pouvez vous adresser à un psychologue privé ou dans un centre pluridisiplinaire (Centre de guidance) afin de réaliser le testing.
Cependant, si il s’agit d’un enfant connu par notre service (le CPMS) et que nous vous avons conseillé un suivi logopédique, nous pouvons réaliser le testing à votre demande.
Les élèves dits « à hauts potentiels », bien que d’intelligences élevées, ne traversent pas toujours leur scolarité sans obstacle. Dans bien des cas, il s’agit d’élèves brillants, autonomes, mais il peut aussi arriver à un moment de la scolarité qu’ils veuillent se faire les plus discrets possibles ou au contraire se comporter de façon très provocante vis-à-vis de l’enseignant et des autres adultes qui les entourent, manifestant ainsi leur souffrance de n’être pas compris. Ils peuvent se trouver en difficultés relationnelles avec leurs pairs et certains finissent même par décrocher et se retrouver en échec scolaire. Cette situation démontre que les élèves à hauts potentiels peuvent être des élèves à besoins spécifiques, comme le sont ceux qui souffrent de troubles d’apprentissage. En effet, l’intelligence particulière de certains jeunes « à hauts potentiels » peut être une force, mais peut devenir une faiblesse dans certains contextes scolaires. Les formes classiques de l’enseignement ne sont pas nécessairement adaptées à ces jeunes (pas suffisamment de situation de découvertes, de démarches de recherche ou de défis, trop d’activités systématiques et/ou répétitives). Ces jeunes sont parfois tellement en décalage vis-à-vis des autres élèves qu’il est difficile de les occuper ou de les intéresser. Il y a alors un risque de désinvestissement des tâches qui les ennuient et de résultats scolaires moyens ou faibles.
Comment aider le jeune HPI ?
En savoir plus :
https://www.lacode.be/IMG/pdf/Analyse_HP_juin_2015.pdf
https://www.douance.be/douance-ahp-accueil.htm
Centres de détection et d’accompagnement :
Livres :
« Le haut potentiel en questions », Sophie Brasseur et Catherine Cuche, Editions Mardaga
« Les surdoués ordinaires », Nicolas Gauvrit, Editions PUF
« Zacchary, l'ourson précoce », Lenia Major et Louvenn (pour les enfants)
Le centre PMS peut vous aider à préciser les besoins de votre enfant et vous communiquer les coordonnées de différents spécialistes.
Nous avons à disposition un listing des différents professionnels qui exercent dans notre région.