CENTRE PMS DE VIRTON WBE
Le sommeil est indispensable, on ne peut pas vivre sans dormir et la privation de sommeil a des conséquences néfastes pour la santé.
À quoi sert le sommeil ?
Le sommeil est essentiel au développement de l’enfant.
Le sommeil est un besoin fondamental de l'enfant. Il lui assure un bon développement physique, psychique et cognitif.
Un sommeil de bonne qualité est donc essentiel au développement de l’enfant et l’aide dans ses apprentissages. Pendant qu’il dort, l’enfant consolide tout ce qu’il a appris dans sa journée.
Dormir suffisamment permet à votre enfant :
À l’inverse, ne pas dormir suffisamment peut nuire à sa santé, affecter sa mémoire, son raisonnement logique, son comportement et sa capacité à gérer ses émotions.
Il existe des difficultés de sommeil comme l'insomnie, et des pathologies du sommeil, comme le syndrome d'apnées obstructives du sommeil (SAOS), pour lesquelles il est nécessaire de consulter un médecin.
Les troubles du sommeil touchent 25 à 30% des enfants de moins de 6 ans.
Éduquer au sommeil :
Combien de temps doit-on dormir selon l’âge ?
Chacun a besoin d’un temps qui lui est propre, qu’on peut évaluer en allant se coucher quand on a sommeil, le soir, sans résister et en se réveillant naturellement le matin.
Besoins moyens, mais cela peut varier d’une personne à une autre :
Les cycles au cours d’une nuit de sommeil :
Le besoin de sommeil survient généralement chaque soir à la même heure, annoncé par une sensation de fatigue, de faible activité mentale, de froid. Si on se couche à ce moment-là, le temps d’endormissement est généralement court (moins de 10 minutes).
Nous nous endormons en sommeil lent, sommeil lent qui va durer en moyenne de 1h10 à 1h 40. D'abord sommeil lent léger puis progressivement de plus en plus profond, le plus réparateur.
À la fin de cette phase, nous passons en sommeil paradoxal pour 10 à 15 minutes.
Une nuit complète représente l'enchaînement de 4, 5 ou 6 cycles de ce « train ». La fin du sommeil paradoxal est marquée par une phase de pré-éveil très courte, insensible pour un dormeur normal, mais où l'éveil serait très facile. Puis, si aucune stimulation particulière ne le tire du sommeil, le dormeur enchaîne un nouveau cycle.
Connaître les facteurs favorisants le sommeil :
La sieste est particulièrement utile chez l’enfant jusqu’à 4 ans. Plus tard, selon l’état de fatigue, elle peut être nécessaire. Il peut s’agir d’une véritable sieste ou d’une pause réparatrice : lecture, jeux calmes, dessin sans contrainte…
L’alimentation peut jouer un rôle sur le sommeil :
Les exercices physiques peuvent favoriser le sommeil : à condition qu’ils ne soient pas trop intenses et qu’ils ne soient pas pratiqués trop près de l’heure du coucher.
Utilisation des écrans :
Depuis une quinzaine d’années, internet a révolutionné nos vies… et celles de nos enfants qui se sont rapidement emparés de ces nouvelles technologies pour apprendre, jouer, communiquer, etc. Pourtant doit-on laisser les enfants jouer librement avec ces outils ? Comment s’assurer qu’ils en ont un usage raisonnable qui respecte leur développement ?
Les effets négatifs des écrans chez les enfants :
Dès le plus jeune âge, il n’est pas rare de voir aujourd’hui un enfant jouer avec le smartphone ou la tablette de ses parents.
Pourtant, l’utilisation excessive de ces outils numériques, en particulier lorsqu’elle est trop précoce, expose les enfants à des effets négatifs : troubles de la concentration, manque de sommeil, diminution du temps passé à interagir "réellement" avec d’autres enfants, voire surpoids, dépression et addiction dans les cas les plus sévères.
Les parents sont souvent démunis face à l’usage qu’ont leurs enfants de ces nouveaux outils et manquent de repères sur les limites à imposer.
Des recommandations pour aider les parents :
La règle 3-6-9-12 (ans) a été proposée pour apporter une réponse simple aux questions de nombreux parents.
Avant 3 ans, pas de télévision ni de jeux sur tablette non accompagnés
Selon le rapport de l’Académie de médecine, un consensus scientifique se dégage aujourd’hui pour considérer que l’exposition passive et isolée à la télévision ou aux DVD n’aide pas les bébés à apprendre à parler. De façon générale, l’exposition précoce et excessive des bébés aux écrans, sans présence humaine interactive et éducative, est très clairement déconseillée.
Entre 3 et 6 ans, un usage pour des périodes courtes et pas de journal télévisé
Les adultes ou les enfants plus âgés peuvent commencer à sensibiliser le jeune enfant entre 3 et 6 ans au fait que les écrans simulent l'environnement réel comme quand il dessine ou joue à "faire semblant".
À cet âge, des jeux vidéo adaptés lui apprennent à se projeter dans la peau des personnages et cela contribue à le rendre moins égocentré, comme le font les jeux et les interactions dans la vie réelle.
De plus, les outils numériques peuvent avoir un intérêt pédagogique, par exemple pour commencer à apprendre à lire ou à compter.
Entre 2 et 6 ans, on peut également apprendre aux enfants à communiquer à distance avec les membres de sa famille via les outils numériques.
Attention cependant : pas de télévision ou d’ordinateur dans sa chambre, ni de tablette personnelle : le risque d’usage compulsif existe même à cet âge.
Leur usage doit se limiter à des périodes courtes et jamais pendant le repas ou avant de dormir.
Attention, pas de journal télévisé avant l’âge de 6 ans. Après cet âge, il est préférable qu’un adulte soit présent pour répondre aux questions qui pourraient survenir après la présentation d’un sujet potentiellement traumatisant.
Entre 6 et 12 ans, l’apprentissage des règles de l’activité en ligne
Entre 6 et 12 ans, l’usage pédagogique d’outils numériques à l’école ou à la maison est un progrès technologique et éducatif important. Il a été démontré que la pratique de jeux vidéo d’action améliore les capacités de concentration, de décision rapide et d’attention visuelle des enfants de 7 ans et plus.
Néanmoins, c’est souvent à cet âge que l’on rencontre les premiers effets négatifs d’une pratique excessive des écrans : manque d’activités physiques et sociales réelles, de sommeil, voire risque accru de myopie plus tard.
À cet âge, comme au précédent, il faut donc éduquer à une pratique modérée et autorégulée : établissez des règles claires sur le temps passé devant les écrans. De plus, il est essentiel de commencer à inculquer les règles liées au droit à l’image et à l’intimité, ainsi que de « booster » l’esprit critique face aux informations en ligne. Accompagnez votre enfant dans sa découverte d’internet. N’oubliez pas de paramétrer vos outils et les navigateurs pour éviter que vos enfants soient exposés à des images choquantes.
Enfin, les experts recommandent de ne pas laisser un enfant participer aux réseaux sociaux avant l’âge de 12 ans
Sue le sommeil de l’enfant :
https://www.one.be/public/brochures/brochuredetail/brochure/a-propos-du-sommeil-de-votre-enfant/
Développer des habitudes alimentaires saines, avoir une bonne hygiène de vie associée à de l’exercice physique quotidien constituent les éléments clés d’une bonne santé.
Cependant, manger, avoir un bon équilibre alimentaire, n’est pas chose facile, et nous observons une croissance alarmante de surpoids chez nos enfants.
Afin d’éviter les risques associés à une mauvaise alimentation (obésité, risques cardio-vasculaires, ostéoporose…), voici quelques petits conseils :
Liens :
http://www.province.luxembourg.be/fr/cahiers-sante.html?IDC=4368#.XqA2lJk6-Uk (Cahier santé de la province du Luxembourg N°2)
https://www.one.be/public/brochures/brochuredetail/brochure/lequilibre-alimentaire-format-a2/
L'énurésie.
L'énurésie est le terme médical pour désigner le "pipi au lit". Involontaires, ces mictions arrivent pendant le sommeil et notamment la nuit.
Il existe deux types d'énurésie :
À 7 ans, 5 % des enfants font encore pipi au lit la nuit ; à 11 ans, 2 % et à 14 ans encore 1 %.
Les chercheurs croient que des facteurs héréditaires sont peut-être en cause. En effet, un enfant dont l’un des parents a fait de l’énurésie nocturne dans son enfance a environ 25 % plus de risque d’en être atteint. Si ce sont les deux parents, le risque augmente à 65 %.
L'énurésie nocturne disparaît habituellement d'elle-même. Il y a rarement un problème médical.
Que faire ?
L'encoprésie.
Ce sont des selles émises à un endroit non prévu pour cela (vêtement, sol, derrière le canapé) au moins une fois par mois pendant trois mois successifs par un enfant âgé de plus de quatre ans. Et ceci en dehors de toute situation pathologique (pas de diarrhée chronique, pas de traitement en cours par prise de laxatifs).
La cause principale est la constipation.
Il est important de consulter votre médecin généraliste
La règle de 3-6-9-12 rappelle des éléments de développement de l’enfant qui donnent des repères pour grandir avec les écrans
Avant 3 ans, il n’y a pas de bon écran pour l’enfant.
Avant 3 ans, l'enfant a d'abord besoin de construire ses repères sensoriels et moteurs : dans l’espace, à travers toutes les interactions sensorielles et motrices avec l'environnement ; dans le temps, à travers les histoires qu'on lui raconte et les livres qu'il feuillette.
Avant 6 ans, l’enfant a besoin de découvrir toutes ses possibilités : il est prioritaire qu’il ait des activités engageant ses dix doigts, pour développer son habileté motrice, et surtout son cerveau.
Le risque des écrans est en effet qu’ils accaparent toute son attention, tout son temps.
Il est important dès lors d’établir des règles claires sur le temps d’écrans, d’installer les écrans dans le salon, de préférer les jeux vidéo que l’on joue à plusieurs.
Sentez-vous le droit de fixer des limites.
Avant 9 ans, l’enfant continue à mettre en place les différentes formes de son intelligence.
Internet risque de brouiller les repères qu’il est en train de se construire. Pour éviter les pièges du web, l’enfant doit notamment assimiler la distinction entre espaces intime et public.
Il est important d’installer les écrans dans le salon, de dialoguer en famille sur ce qui s’y passe et d’établir des règles claires sur le temps d’écrans.
Sentez-vous le droit de fixer des limites.
Avant 12 ans, l’enfant a besoin d’explorer la complexité du monde réel. Il a besoin d’éprouver ses relations sociales, de tester ses comportements et les réactions qu’ils suscitent, sans la distance créée par les écrans.
Il est important de privilégier les jeux en famille et entre amis, dans la même pièce, d’installer les écrans dans le salon et de continuer à établir des règles claires sur le temps d’écrans. Sentez-vous le droit de fixer des limites.
Après 12 ans
Source : https://www.yapaka.be/ecrans
La puberté : une étape de la vie inévitable, tant pour les adolescents que pour les parents……
La puberté est un moment normal du développement, où des changements du corps, de l’esprit et de la personnalité vont « bouleverser » votre vie personnelle et familiale ; la production d’hormones va transformer l’enfant en le faisant cheminer progressivement vers un adulte en devenir.
Bouleverser ?
Oui, mais pas d’angoisse, cela se fait progressivement.
S’il est vrai qu’il y aura des périodes désagréables, il y aura aussi des moments de découvertes, d’épanouissement et de liberté nouvelle.
La période pubertaire commence vers l’âge de 10-12 ans pour les filles et vers 12-14 ans pour les garçons, elle est plus ou moins longue car chaque jeune évolue à son rythme.
Les hormones se « réveillent » et sont responsables, par leur action sur le cerveau, de tous les changements corporels :
Chez les filles : développement corporel : taille, morphologie, naissance de la poitrine, développement des organes sexuels (internes et externes) et début des règles ; apparition de la pilosité (moindre que pour les garçons) ; transpiration plus abondante.
Chez les garçons : apparition spécifique de la pilosité, développement corporel : taille, carrure, organes sexuels (internes et externes) ; la transpiration se fait plus abondante.
Ces hormones « en ébullition » chamboulent aussi la façon de penser, l’humeur et la façon d’être (comportement), c’est la période pour filles et garçons (et pour les parents), du grand bouleversement…
Les premiers signes du réveil hormonal sont l’apparition des poils sur le pubis, ensuite sous les aisselles puis sur les jambes et éventuellement sur la lèvre supérieure (pilosité plus marquée pour les garçons avec, en plus l’apparition de poils sur le torse).
Concernant les filles :
En savoir plus : Les règles c’est kwO ça ? (Mutualité chrétienne)
https://www.mc.be/media/les-regles-c-kwa-ca_tcm49-20656.pdf
Concernant les garçons :
Les hormones
Tant chez les filles que chez les garçons, elles sont aussi responsables de l’augmentation de la production de sébum : cheveux gras, boutons et points noirs en sont les désagréments, ainsi qu’une transpiration plus abondante pouvant donner une odeur corporelle plus forte.
Une bonne hygiène corporelle, alimentaire (attention aux aliments sucrés, salés, trop gras) aidera à mieux se sentir pendant cette période ingrate.
Tout le corps est perturbé mais aussi les pensées
La puberté est souvent la période ou l’image de soi est « négative », trop de ceci, pas assez cela, pas aussi beau/belle que… ; les émotions, sentiments sont aussi en ébullition et peuvent perturber, inquiéter, provoquer des changements d’humeur (« bonne » ou « mauvaise »), tout cela fait qu’on peut se sentir « mal dans sa peau ».
L’ado se transforme doucement en adulte, il n’est plus l’enfant que les parents guidaient, il devient, jour après jour, plus indépendant, avec des besoins/envies différents. Les parents doivent continuer leur rôle de protection, de soutien et l’adolescent reste malgré tout dépendant de ses parents : parents et enfants doivent trouver, chacun, une nouvelle place au sein de la famille afin qu’un nouvel équilibre s’installe.
Le respect de soi, de l’autre est primordial (ado/ado, filles/garçons, parent/enfant). Il permet de poursuivre le dialogue, d’apaiser les tensions et il aide à la construction de l’adulte en devenir.
Source : https://www.mc.be/actualite/articles/archives/puberte_keskec
Il existe de nombreuses infections sexuellement transmissibles (IST) anciennement appelées MST. Ce sont des maladies provoquées par des bactéries, des virus ou des parasites. Les IST sont des infections qui se transmettent lors des relations sexuelles non protégées. Toutes ces maladies sont à prendre au sérieux, un traitement est nécessaire ; dans le cas contraire, elles peuvent avoir des conséquences graves sur votre santé.
Elles peuvent devenir des maladies chroniques et même entraîner la mort. Les relations sexuelles avec de nombreux partenaires sont des vecteurs qui augmentent le risque de transmission des IST tout comme les rencontres de vacances ou une rupture amoureuse. Un seul mot d'ordre : utilisez des préservatifs ! Il existe plusieurs IST dont une plus connue que les autres : le sida. Mais il en existe bien d’autres : la syphilis, la chlamydia, l’herpès, l’hépatite B et C, la gonorrhée, les condylomes (verrues génitales).
Modes de contamination
Les IST se transmettent lors de rapports sexuels non protégés et/ou par le sang (via des seringues contaminées par exemple), par du matériel mal stérilisé (soins dentaires, endoscopie, etc.) ; lors de l’accouchement, l’enfant peut être contaminé par la mère. Dans tous les cas, le risque de transmission de ces maladies est très élevé.
Symptômes communs aux IST
Les symptômes des IST sont soit très discrets (et donc pas facilement identifiables) soit très visibles. Les IST provoquent des infections au niveau des organes reproducteurs ainsi que sur la peau autour du vagin, du pénis ou de l'anus. Certaines IST provoquent des symptômes systémiques créant des problèmes dans d'autres parties du corps. On peut donc avoir une IST sans qu'il y ait des effets visibles et donc transmettre la maladie sans le savoir.
Si vous remarquez :
il est possible que vous soyez infecté. Vous pouvez avoir un de ces symptômes comme vous pouvez les avoir tous. Si vous avez des doutes à la suite d’une relation sexuelle sans protection (c’est-à-dire sans préservatif), mieux vaut consulter un médecin qui procèdera à un test de dépistage ou tout autre examen utile.
C’est grave ?
Beaucoup d'IST se soignent par antibiotiques, antimycotiques …. Pour d'autres comme l'hépatite B, le papilloma virus, il existe un vaccin. Pour le sida, les traitements stabilisent les défenses immunitaires mais à ce jour on ne guérit toujours pas du sida qui reste une maladie mortelle. Les informations ci-dessus n'ont pas la prétention d'être des informations médicales, mais de vous renseigner au mieux sur les IST qui sont souvent des maladies peu connues. En cas de doute, il faut consulter un médecin ou un planning familial.
Pour des informations plus complètes, vous pouvez consulter le site : https://depistage.be/
La contraception permet d’éviter la fécondation (ovule fécondé par un spermatozoïde) et donc, d’être enceinte.
La fécondation se produit au moment de l’ovulation chez la fille, en moyenne vers le 14ème jour du cycle (en fonction de la durée de celui-ci). L’ovule descend dans la trompe de Fallope et sera rejoint par les spermatozoïdes.
À savoir que la fille est fertile 2,3 jours par mois, tandis que le garçon l’est en continu. Cependant, bien connaitre son cycle n’est pas une mesure de contraception suffisante. C’est pourquoi il en existe diverses dont nous allons parler ci-dessous.
Avant tout, il y a plusieurs points importants dont il faut prendre conscience :
(Pour plus d’infos, rendez-vous sur le site https://dépistage.be).
Voyons ici les différents moyens de contraception :
Le préservatif :
Comme dit plus haut, il est le seul à protéger des MST. Il se trouve dans les commerces, en pharmacie, et gratuitement en centre PMS. A toujours avoir sur soi !
La pilule contraceptive :
Est prescrite par un médecin, et adaptée en fonction de la personne. Il existe des pilules en continu, qui empêchent les règles, et d’autres avec un arrêt de 7 jours à la fin de chaque plaquette. Elle doit être prise quotidiennement et à heure régulière. Certains médicaments peuvent altérer son efficacité. Il faut également être prudent en cas de vomissements ou de diarrhées.
La pilule contraceptive peut également être efficace contre les douleurs menstruelles et l’acné juvénile.
L’anneau vaginal :
Est également prescrit par un médecin. Il s’agit d’un anneau souple qui se fixe autour du col de l’utérus et est efficace durant 3 semaines. L’application, que l’on fait soi-même, peut être désagréable et l’on peut parfois sentir sa présence. Il est possible de le retirer lors des rapports, à condition de le remettre directement après.
L’implant hormonal :
Il s’agit d’une petite tigette de la taille d’une allumette qui est placée sous la peau par un médecin. Son efficacité dure 3 ans. Elle peut toutefois provoquer des pertes de sang anarchiques et perturber le cycle, ainsi que provoquer une prise de poids.
Le patch contraceptif
Petit patch que l’on colle à la peau, et qui est remplacé toutes les semaines. Il est aussi prescrit par un médecin. Il faut veiller à ne pas le perdre.
La pilule du lendemain :
Elle se trouve en pharmacie et sans prescription médicale. Attention ! Ceci est un moyen d’urgence, et non un moyen de contraception ! Elle est efficace à 85% si elle est prise dans les 12h, et à 46% si elle est prise dans 48h. Au-delà de 72h, elle n’est plus efficace. Il faut alors prendre la pilule du surlendemain, qui elle, est efficace dans les 5 jours qui suivent le rapport à risque. Elle est prescrite par un médecin.
Dans tous les cas, il est conseillé de s’adresser à un professionnel de la santé. Celui-ci est tenu au secret médical. Le jeune ne doit pas hésiter à venir « prendre ses renseignements » auprès du Centre PMS de son école.
En savoir plus : https://www.planningsfps.be/outils-publications/